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Après deux tentatives manquées d’immigration en Europe, Rahmane Bidima , jeune agriculteur camerounais, décide de retourner dans son village natal pour y ouvrir une florissante exploitation agricole. Il y cultive raisins, pommes, fraises pastèques etc.
Seule cette prise de conscience de l’importance pour les africains de renoncer à ces aventures suicidaires peut permettre à tous ces jeunes d’éviter de ce mettre dans toutes ces difficultés.
Nous cherchons souvent l’eldorado ailleurs alors que nous sommes en mesure d’investir dans un secteur en Afrique et de réussir mieux qu’on aurait pu le faire ailleurs et Rahmane Bidima ne dira pas le contraire. Ceci est aussi valable pour les africains de la diaspora. N’hésitez pas à venir investir en Afrique. Ceci est la seule façon de libérer ce continent de toutes ses difficultés.
Si nous avons des hommes et des femmes porteurs de projets très ambitieux pour l’Afrique nous n’aurons ni besoin d’aide au développement pour voir nos pays émerger. Imaginez juste si toutes ces personnes qui s’appliquent dans la transformation de produits agricoles avez la possibilité d’avoir à leur disposition des fruits qu’on ne cultivaient jamais en Afrique comme la fraise , la pomme etc en plus de ceux qu’on peut facilement obtenir ici.
Cela leur permettrait facilement d’y avoir accès et ainsi faciliter la transformation de ces produits. On pourra lancer nos industries dans l’alimentaire (confiture, compote, yahourt, etc) dans la cosmétique ( des produits capillaires, pour la peau etc) ainsi que dans d’autres secteurs stratégiques qui ne sont toujours pas tenus par des africains dans leur propre continent. Nous aurons accès à toutes ces opportunités sans grands efforts et ceci boostera rapidement l’économie de nos pays.
Il est vraiment tant qu’on prenne notre destin en main. Cessons de croire que le développement ne peut se faire sans l’aide des autres. Nous pouvons développer l’Afrique en moins de 50 ans. Cela dépend juste de notre faculté à ne plus accepter d’être éternellement consommateurs des produits provenant hors du continent. Cela dépend aussi de l’importance pour tout un chacun partis nous de savoir que seul l’africain est en mesure de développer l’Afrique.
Nous avons de nombreux défis à relever. Nous souffrons de beaucoup de maux. Il est temps que cela cesse. Osons l’avenir !